L’alimentation commence à l’aurore
Le petit déjeuner, c’est à la fois plaisir et “convenience”, santé et performance, variété et habitudes, aliments universels et aliments locaux. Une étude s’intéresse à ce que les individus y voient et surtout, comment ils l’imaginent à l’horizon du futur.
C’est un étrange monde, à y réfléchir, que celui du petit déjeuner. Mélange de tradition et de modernité, d’aliments universels et de produits locaux, de plaisir et de fonctionnalité, il représente un acte en apparence anodin, alors qu’il est si important pour la santé de tous. Les industriels, bien entendu, s’y intéressent et tous ne sont pas nécessairement tournés de manière exclusive vers la rentabilité. C’est ainsi que la société Puratos, qui propose de produits de boulangerie et de pâtisserie, s’est intéressée à la manière de favoriser le petit déjeuner, dont on connaît à la fois l’importance pour la santé mais malheureusement aussi la fréquence avec laquelle dans notre vie moderne ce repas est « oublié ».
Les résultats d’une enquête ont montré en effet que la fréquence des petits déjeuners manqués s’élève jusqu’à 20 à 25% des cas dans les pays industrialisés. La principale raison de ce fait est la pression professionnelle et le désir de se libérer de la préparation des repas. Il y a plus encore : de plus en plus d’individus qui prennent un "repas" du matin le font en avalant un snack sur le chemin du travail ou sur le lieu de celui-ci. D’où la nécessité, si on veut préserver ce repas si important, de pouvoir proposer des formules aisées à consommer.
Un petit-déjeuner équilibré doit contenir au moins trois composantes : un produit laitier, des céréales sous l’une ou l’autre forme et un fruit. La société Puratos, qui était présente au Congrès International de Nutrition à Grenade en septembre dernier, se préoccupe de ces aspects. Ecoutons quelle est en la matière la philosophie de cette entreprise belge de renommée internationale.